Grâce aux approches hybrides, il est désormais possible :
– d’avoir de longs cycles courts,
– des équipes dont l’auto-organisation est librement définie par un département Process et Méthode au niveau central,
– et qui peuvent exprimer leurs singularités grâce à la parfaite uniformisation des équipes,
– une foultitude de rôles, comités, intermédiaires permettant à l’organisation d’être simple et efficiente,
– des diagrammes de Gantt ayant fait l’objet d’une rotation orthogonale appelés à partir de ce jour « Backlog ».
– une agilité visant à renforcer notre adaptabilité dans le but d’améliorer la prédictibilité,
– de supprimer le travail inutile en réunissant tous les trimestres 100 personnes dans une grande salle pendant 2 jours afin de définir un objectif qui sera caduc le lendemain,
– de privilégier les individus et leurs interactions aux processus et aux outils, tant que tout le monde fait du Scrum et utilise Jira,
– d’accueillir positivement le changement tant qu’il est conforme au plan trimestriel,
– d’apporter de la cohérence grâce aux injonctions contradictoires,
– de dire tout et son contraire sans s’en rendre compte,
Les approches hybrides ? Le meilleur des deux mondes on vous dit !
